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Captivés, entraînés, passionnés... sommeliers

Archives for février 2018

Le mondial des cidres du 2 au 4 mars 2018

26 février 2018

Présenté du 2 au 4 mars, dans le cadre de Montréal en lumière, le Mondial des cidres est l’occasion de découvrir une vingtaine de cidreries québécoises. Au menu, cidres de glace, cidres secs, cidres doux, pétillants ou aromatisés.

Une nouveauté cette année,  une compétition de cidre et de mixologie se tiendra lors de la soirée d’ouverture du 2 mars. Le tout se déroulera à la Grande-Place du Complexe Desjardins.

L’entrée est de 20 $ pour une journée, de 50 $ pour une carte VIP de trois jours et gratuite pendant la Nuit blanche (nuit du 3 au 4 mars) de 21h à minuit.

Site web ici

 

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Nouvelle parution de Jacques Benoit

25 février 2018

Éditions La Presse, Image fournie par les Éditions La Presse

Auteur : Jacques Benoit

Livre papier : 208 pages

Prix : 22,95 $

Parution : le 23 février 2018

Monsieur Jacques Benoit a écrit sur le monde du vin pendant trois décennies au journal La Presse. Il a fait le tour du monde, il a goûté aux plus grands crus et mangé aux meilleures tables. Il nous offre ici un «ouvrage-bilan» de sa carrière et de l’univers du vin au Québec dans sa plus récente publication intitulée;  Le vin… est une drogue!

Lire l’article ici

 

 

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Virginie Routis, la première sommelière de l’Élysée

5 février 2018

Virginie Routis, sommelière à l’Élysée depuis 2007, première femme à exercer cette fonction. Photo Yann Stofer pour M, le magazine du Monde

Virginie Routis, la première sommelière de l’Élysée

Depuis 2007, cette trentenaire est à la tête de la cave de la présidence de la République, qui compte près de 12 000 bouteilles. Un poste qui fait d’elle l’ambassadrice du vignoble français.

M le magazine du Monde | 27.10.2015 | Par Rémi Barroux

Le lieu est aussi discret que sa renommée est internationale. Les caves de l’Élysée, où attendent d’être servis à la table présidentielle les grands crus qui font la réputation de la France, n’impressionnent guère par leurs dimensions. Quelque 12 000 bouteilles, dont un millier de champagnes, 5 000 flacons de blancs, le reste en rouges, dorment dans deux salles, de taille modeste en sous-sol – rien à voir avec les kilomètres de caves des grandes maisons champenoises. Juste une clé pour ouvrir la porte qui donne dans les pièces climatisées, une clé que brandit Virginie Routis, la sommelière de l’Élysée, première femme à tenir ce poste prestigieux.

Choisir et servir les vins, gérer la cave, recevoir quelques producteurs et déguster au Palais, inventorier le stock – pas une sortie ou une entrée de bouteille ne se fait sans être scrupuleusement consignée dans le livre de cave –, tel est le quotidien de Virginie Routis. La trentenaire, originaire de Bordeaux, a fait ses premières armes à Londres. De retour sur le continent, elle achève de se former au Bristol, à Paris, puis, en septembre 2007, apprenant que le poste de sommelier s’est libéré à l’Elysée, elle postule et obtient la place.

Cave de l’Élysée. Photo Yann Stofer pour M, le magazine du Monde

Une cave à diversifier
L’une de ses premières missions fut d’élargir les horizons de la cave de la République. La moitié des bouteilles provenait de la région de Bordeaux, avec la plupart des grands crus. Les grands blancs de Bourgogne représentaient un quart de la cave, les autres régions se partageant le reste de l’espace. « Je veux représenter le vignoble français dans sa diversité, professe Virginie Routis. Mais il faut aussi rester classique, les étrangers connaissent surtout ces deux noms et ces deux couleurs. On ne prend pas de risque, mais on n’a pas vraiment le droit d’en prendre, il faut assurer. »
Et Virginie Routis assure. Lors du dîner de gala donné en l’honneur d’Elizabeth II, en marge des cérémonies du 70e anniversaire du Débarquement, le 7 juin 2014, au Palais de l’Élysée, pour accompagner le foie gras de canard, gelée de sauternes et aspic de truffes, puis le « baron d’agneau de Sisteron aux saveurs printanières », elle avait retenu un Château d’Yquem de 1997, un sauternes donc, suivi d’un Pessac-Léognan, un Château Haut-Brion 1990. Sans oublier, en ouverture des agapes royales, un champagne de la maison Pol Roger, une délicate attention pour Sa Majesté, puisque ce champagne trône sur la table de la cour d’Angleterre et qu’il s’agissait de la cuvée « Sir Winston Churchill ».
Le tandem bordeaux rouge-bourgogne blanc représente bien sûr une contrainte. Mais, pour les dîners d’État qui comptent les convives par centaines, madame la sommelière ne peut servir que des références dont elle possède en cave au moins 48 bouteilles, même année, même maison. Dans les casiers, du côté des grands crus prestigieux – que l’Élysée ne souhaite pas spécialement mettre en valeur pour ne pas accréditer l’image d’une présidence vivant dans le luxe –, l’un des plus anciens flacons est un Château Rieussec, un sauternes premier grand cru de l’année 1906.
« Il m’est arrivé d’échanger quelques mots avec Mme Merkel »

Cave de l’Élysée. Photo Yann Stofer pour M, le magazine du Monde

En mai 2013, pour faire de la place et parce que, explique Virginie Routis, « cela ne servait à rien de garder des belles étiquettes que l’on avait en quantité insuffisante pour les servir lors des dîners officiels », l’Élysée a vendu une partie de sa cave aux enchères, soit 1 200 flacons. Exit des Pétrus (pomerol), des saint-émilion du Château Cheval-Blanc ou du Château Ausone, des Pessac-Léognan de la Mission Haut-Brion… L’argent de la vente, près de 720 000 euros, a notamment servi à renouveler le fonds.
À l’issue de certains dîners officiels, il n’est pas rare que des membres des délégations invitées prennent contact avec les maisons servies pendant le repas. Mais la table de l’Élysée n’est pas un restaurant, encore moins un bar à vins, et les choix de la sommelière ne sont pas discutés. Tout juste livre-t-elle quelques informations sur le vin servi ou la maison représentée. « Il m’est arrivé d’échanger quelques mots avec Mme Merkel », se souvient-elle.
« Parfois, pour quelques déjeuners, je peux me permettre d’aller sur certaines régions, et je me fais plaisir avec des vins de Condrieu, des Saint-Péray ou des Vacqueyras [vins de la vallée du Rhône], ou encore des Alsaces blancs », confie-t-elle. Pour un déjeuner plus modeste, avec des membres du gouvernement ou des conseillers, pour lequel le chef, Guillaume Gomez, a préparé des cannellonis de crabe, un pigeon vendéen à la vigneronne et une meringue au chocolat, la jeune femme a pu sortir du sujet imposé, proposant un Pernand-Vergelesses 1er cru de 2013 suivi d’un cornas de 2009.
« Elle a un rôle d’ambassadeur, elle représente la tradition mais cela bouge, le président est très ouvert sur toutes les régions », apprécie Philippe Faure-Brac, élu meilleur sommelier du monde en 1992 et qui a conçu la carte des vins du pavillon France à l’Exposition universelle de Milan, qui s’achève le 31 octobre. Une quarantaine de références pour représenter toutes les régions viticoles de la nation. Un autre casse-tête.

Source : M le magazine du Monde

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Nos suggestions du mois de février 2018

5 février 2018

La sommelière Gabrielle Plastre vous suggère ce mois-ci :

Baden ‘Sulzfeld Riesling’ 2015, Weingut Burg Ravensburg, Allemagne

Code SAQ : 13453762

Prix : 20,30$

Produit en quantité limitée

Température de service à 6 degré Celsius, à boire maintenant ou dans les deux ans qui suivent.

Les caractéristiques typiques de ce riesling font de cette trouvaille un pur bonheur pour les papilles. On y retrouve une vive fraicheur balancée par une pointe de sucre résiduelle, un léger perlant, des arômes d’agrumes, de lime et de zeste de citron et une qualité minérale rappelant la craie et les hydrocarbures… et ce à, seulement, 12,5% d’alcool! Ce vin se déguste parfaitement à l’apéritif ou pour accompagner un risotto aux fruits de mers et champignons (disponible tous les lundis au restaurant les Cavistes!). Pour couronner le tout, le vignoble travaille en agriculture biologique. Santé!

Le sommelier François Marchal vous suggère ce mois-ci :

El Petit Bonhomme 2016, Espagne

Code SAQ :  12365541

Prix : 15,55$

Produit courant

La québécoise Nathalie Bonhomme installée en Espagne depuis 25 ans, vous propose ici un vin d’entrée de gamme de la Bodegas Juan Gil. Pour ceux et celles qui aiment les vins rouges gouleyant, vous apprécierez cet assemblage de monastrell (55%), de grenache (30%) et de syrah(15%). Il possède un nez riche avec des effluves d’épices (note de poivre) et de fruits rouges bien mûrs. En bouche, on goûte les fruits comme la prune et les cerises également bien mûres. Les tannins sont souples et la finale est longue et persistante. Servez-le à 13 ou 14 degré Celsius avec des petits tapas maison ou encore avec un bon plat de pâtes, sauce à la viande. Bon rapport qualité/prix en ce mois de février.

Et pour la St-Valentin…

El Grand Bonhomme 2013, Espagne

Code SAQ :  12475281

Prix : 30,25$

Produit de spécialité en quantité limitée

Et pour vous réchauffer le cœur en cette période de temps froid, vous pouvez aussi vous gâter avec ce vin rouge conçu à partir de vieilles vignes de tempranillo (100%). Cette cuvée spéciale possède 15,5% d’alcool. Un vin rond et charnu, vieilli 16 mois en barriques de chêne français aux arômes de fruits rouges et de mûres sauvages avec une légère présence d’épices (fines herbes). Les tanins sont souples et élégants.  Une belle longueur en bouche au final. Il accompagnera à merveille une bonne viande grillée en plat principal. Vin de garde de 4 à 6 ans. Servir à 15 degré Celsius avec un petit coup de carafe 30 minutes avant le repas.

La sommelière Naomie Lavallée Durand vous suggère ce mois-ci :

Côtes du Rhône Villages Sablet, Cuvée Clémence 2015, Domaine de Boissan, France

Code SAQ : 00712521

Prix : 21.55$

Produit cellier en quantité limitée

Le retour de cet arrivage de l’agence Rézin en SAQ va certainement plaire à plusieurs car c’est un excellent vin de la vallée du Rhône. 50% grenache, 50% syrah.

Assez typique de l’appellation, le vin présente au nez des arômes de fruits noirs comme la griotte, la prune, la mûre. On retrouve aussi un peu de fruits rouges comme la fraise des champs. Le fruit est très mûr. S’ajoute au bouquet des épices douces, un peu de végétal noble tel que la garrigue et le tabac. La bouche est crémeuse, d’une acidité fraîche. L’alcool est présent, on peut sentir une petite chaleur dans la gorge (13.5%). Les tannins sont d’une belle qualité et en quantité suffisante pour l’apprécier avec une bonne pièce de viande rouge grillée. On découvre en bouche les goûts des fruits, des épices et un peu plus de tabac qu’au nez. C’est long, assez long pour dire que c’est un très bon vin et je ne parle même pas du prix!

À boire maintenant mais idéalement dans 4 ou 5 ans. Température de service, 15 degré Celsius. À carafer 1h d’avance si possible.  Santé!

Et aussi …

Beaujolais 2016, Jean Foillard, collection Rézin, France

Code SAQ : 12454958

Prix : 24,64$

Produit cellier en quantité limitée

Du Beaujolais, c’est bon tout le temps et c’est un super passe-partout, promis! Pourquoi celui-là? Parce qu’il vient tout juste de revenir en succursales à la SAQ, et que les vins de Jean Foillard sont tous des vins de grande qualité. Passionné et dévoué, il prône un retour aux méthodes peu interventionnistes. Ce gamay (100%) est vraiment un vin agréable, facile à boire et qui rend joyeux. D’une très grande fraîcheur et doté de tannins soyeux, ce vin bio est léger, fruité, chaleureux et zéro prétentieux. Parfait pour accompagner une volaille, un saumon, un carré de porc ou tout simplement à l’apéro entre amis.

Température de service, 12 degré Celcius. À boire maintenant ou d’ici deux ans. Santé!

 

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Sean Nelson nommé meilleur sommelier 2018 de la C.-B.

2 février 2018

Written by Harrison Mooney
Vancouver Sun
Published on: January 31, 2018

The Best Sommelier of British Columbia 2018, Sean Nelson, sommelier at Vij’s restaurant in Vancouver. Photo CAPS

If you’re looking for not just the best bottle of wine, but the best person to select it for you, look no further than Vancouver’s Sean Nelson, who was recently named British Columbia’s best sommelier of 2018.

Nelson, who plies his trade as the wine steward at Vij’s Restaurant, won the honour at the fourth annual competition. hosted by the Canadian Association of Professional Sommeliers British Columbia Chapter (CAPS BC).

The event was held in the Captains Room at Rogers Arena, where Nelson, also a finalist in 2016, beat out a crowded field of accomplished sommeliers from across the province, including Matthew Landry of the Stable House Bistro and Todd Prucyk of Hawksworth Restaurant. Landry and Prucyk finished second and third, respectively.

Winning the distinction is no small feat. The contest began with a written theory exam and a blind tasting. Following that, top three scoring sommeliers underwent a series of tests, including executing a sparkling wine service, spotting errors in a written wine menu, a food and wine pairing, and a blind wine/spirit and cocktail tasting, all of which was done live in front of over one hundred spectators.

Nelson’s palette was his greatest advantage. He was also awarded “Best Taster” at the event.

“A huge congratulations Sean,” said CAPS BC president Lesley Brown at the post competition reception and dinner, “and to both Matt and Todd for an incredible day of competition; and, a congratulations to all of the 13 competitors today…everyone should be proud of what they have accomplished.”

The 2018 competition was judged by Barbara Philip MW, Michaela Morris, and Sebastien Le Goff.

This year’s competition had a new wrinkle as well: the New Aspiring Sommelier Competition 2018, designed for sommeliers just getting their start.

The winner of this inaugural competition was Ian Wharton of Blue Water Café, who edged out Alex Anderson of Tap Restaurant.

Wharton was awarded a $1000 Education Bursary to further his professional development in the industry.

Established in 1989, CAPS is a pan-Canadian association aimed at bringing together individuals within the sommelier profession, restaurant services, and other sectors of the wine industry.

Source Vancouver Sun

More Information:

The annual competition, emceed by Shane Taylor, winner of 2017 Best Sommelier BC Competition, attracted sommeliers from across the province to compete in the Captains Room at Rogers Arena for the title of  Best Sommelier of British Columbia. The competition included an intense written exam in the morning, with the top three scoring sommeliers from the written exam advancing through to a series of practical tests, such as opening and pouring sparkling wine perfectly, spotting errors in a written wine menu, and blind tasting and identifying wines; all in front of 100 spectators.

This year’s competition judges were Barbara Philip, Michaela Morris, and Sebastien Le Goff.

The full list of competitors:

  • Christina Hartigan, Botanist
  • Calen Macdonald, Blue Water Cafe
  • Michael Hiram, AnnaLena
  • Matthew Landry, The Stable House Bistro
  • Shane Lobsinger, Sonora Resort
  • Adam Mayhew, Yew at Four Seasons Hotel
  • Scott Mitchell, AnnaLena
  • Sean Nelson, Vij’s
  • Jayton Paul, Hawksworth Restaurant
  • Todd Prucyk, Hawksworth Restaurant
  • Tereza Roux, Wedgewood Hotel
  • Peter Van de Reep, Campagnolo
  • Jesse Walters, Burdock & Co.

New Aspiring Sommelier Competition:

New and as a first in Canada this year, CAPS BC hosted the 2018 BC Aspiring Sommelier Competition. This event was for any member of CAPS BC who earns at least 50% of their income from hospitality employment in any role, and who has an interest in participating in future Best Sommelier BC competitions. The event mimics the Best Sommelier BC format in order to give aspiring sommeliers the opportunity to understand what the competition is all about.

Winner of the inaugural Aspiring Sommelier Competition is Ian Wharton of Blue Water Cafe. The runner up: Alex Anderson of Tap Restaurant.

Also competing were:

  • Noel Hollett, Vancouver Club
  • Jasmin Kohli-Bryans, AnnaLena
  • Michael Wong, Chambar
  • Eliza Bashkirova, Botanist

Jason Yamasaki (Wine Director of the Joey Restaurant Group and Best Sommelier in BC 2015) and Mark Shipway (Director of Professional Development, CAPS – BC) oversaw the new competition. Jason mentioned as part of the awards announcement that “BC is leading the way with this competition. The sommelier community continues to build in BC and it is truly something special.”

Source Advisor Wine Industry Network

Source ACSP – chapitre de la C.-B.

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