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Archives for mai 2019

Décès d’André Lurton, grande figure de Bordeaux

17 mai 2019


Par Terre de vin / Une immense figure du vignoble bordelais s’est éteint ce matin. André Lurton, instigateur notamment de l’appellation Pessac-Léognan et patriarche de l’une des branches de la famille Lurton, vient de décéder à l’âge de 94 ans.

Le vignoble bordelais vient de perdre l’une de ses figures emblématiques en la personne d’André Lurton, qui s’est éteint ce matin à l’âge de 94 ans comme nous l’a confirmé le directeur général des vignobles André Lurton, Pascal Le Faucheur. A la tête d’un empire viticole de plus de 600 hectares (dont 260 en Pessac-Léognan, appellation dont il fut l’initiateur en 1987), André Lurton a consacré sa vie à la défense des vins de Bordeaux : président départemental puis national des Jeunes agriculteurs, maire de Grézillac pendant 45 ans, il a occupé de hautes fonctions au CIVB et a été président de la Chambre d’agriculture de la Gironde pendant près d’un quart de siècle, comme le rappellent nos confrères de Sud-Ouest. Il était aussi un ancien résistant, distingué comme officier de la Légion d’honneur en 2013.

André Lurton est l’un des membres, avec ses frères Lucien, Dominique et sa sœur Simone, d’une génération décisive dans l’essor de la famille Lurton à Bordeaux. Parmi ses enfants, ses fils François et Jacques Lurton ont acquis des vignobles au Chili, en Argentine, au Portugal, en Espagne et en Languedoc (regroupés au sein d’une maison mère basée à Bordeaux et dirigée actuellement par François). Jacques s’occupe du Domaine de La Martinette et de The Islander Estate en Australie. Sa fille Christine gère la communication Grands Crus au sein des Vignobles André Lurton, sa fille Béatrice est propriétaire de Château Grossombre.

En 2014, les Crus Classés de Graves lui rendaient hommage pour ses 90 ans dans le cadre du dîner des Accabailles, qui se déroulait dans son « fief » du château Couhins-Lurton, à Villenave-d’Ornon.

Parmi les autres domaines importants des vignobles André Lurton, signalons Château La Louvière, Château Cruzeau, Château de Rochemorin en Pessac-Léognan ou encore Château Bonnet en Entre-deux-mers.

Source : Terre de vin

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Film documentaire sur Nicolas Joly le 20 mai 2019 à Montréal

13 mai 2019


Par François Marchal /

Le réalisateur Keith Aumont présente, lundi le 20 mai, à 19h, la première du film documentaire, Le poète lucide, sur le vigneron et maître de la vigne Nicolas Joly. Le réalisateur souhaite inviter les sommeliers montréalais à cet événement qui se déroulera au Cinéma Moderne situé au 5150 boul. St-Laurent  à Montréal. Une discussion suivra la projection.

Achetez vos billets en cliquant ici

Le vignoble de la Coulée de Serrant:

Propriété exclusive de la famille Joly, le vignoble de la Coulée de Serrant constitue à lui seul une appellation contrôlée de 7 hectares seulement. Le vignoble a été planté en 1130 par des moines cisterciens et se compose aujourd’hui de vignes âgées de 35 à 80 ans. L’ancien petit monastère existe toujours et à quelques centaines de mètres fut construit le château de la Roche aux Moines démantelé lors des guerres de religion.

Toujours considérée comme un produit rare et unique la Coulée de Serrant a été célébrée par Louis XI et Louis XIV comme l’un des meilleurs vins blanc français.
Le vignoble est cultivé en partie à la main et au cheval à cause de la raideur de ses pentes qui surplombent la Loire.

Depuis 1984, l’intégralité du domaine est cultivée selon les méthodes de l’agriculture biodynamique. Trois vins sont produits en petites quantités à la propriété et bénéficient des principes de l’agriculture biodynamique : la “Coulée de Serrant“, le “Clos de la Bergerie” et “Les Vieux Clos“.

Quelques articles intéressants sur la biodynamie ; Le Figaro et Luxe Magasine

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Le vin blanc gagne du terrain à la faveur de nouvelles habitudes alimentaires

8 mai 2019


Par Marie-Josée Cougard /

Le vin blanc gagne du terrain à la faveur de nouvelles habitudes alimentaires. La consommation de vin en France évolue au profit du rosé et du blanc et au détriment du rouge. La désaffection à l’égard de la viande de boeuf explique en partie cette tendance.

Longtemps réduit à une portion congrue de l’ensemble vin, le blanc bénéficie d’un engouement accru auprès des Français. Entre 2010 et 2018, la grande distribution a vendu 108 millions de litres de vin rouge de moins, mais 51 millions de litres de rosé et 7,2 millions de litres de blanc de plus, selon le cabinet IRI.
À quoi tient cette évolution ? De plus en plus, les repas prennent l’allure d’« apéros prolongés », répond Miren de Lorgeril, présidente de l’interprofession du Languedoc Roussillon (CIVL). « Ce qui profite beaucoup à la consommation du blanc, qui bénéficie d’une fausse image de légèreté, alors qu’il a le même degré d’alcool que les autres couleurs. »

Le phénomène touche plusieurs générations. « On a pensé pendant un temps que le blanc et le rosé étaient la manière des jeunes d’aborder la consommation de vin. On constate que l’habitude perdure et que ce n’est pas une question d’âge. Les femmes privilégient le blanc », ajoute la présidente de CIVL. La désaffection à l’égard de la viande de boeuf explique aussi que le rouge perde du terrain par rapport aux autres couleurs. En France, la consommation de boeuf a chuté de 12 % en dix ans selon le Credoc. De quoi affaiblir le modèle traditionnel viande rouge-vin rouge.

La Bourgogne « blanchit »

Tout cela a un impact. En Bourgogne, la région des grands blancs, « le vignoble continue de blanchir », dit Christian Vanier, directeur général du Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB). « Au point que les blancs font leur apparition en Côtes de nuit, tout un symbole. » Le blanc pèse désormais les deux tiers de la production de la région. Les rouges disparaissent du Mâconnais, où ils ne représentent plus que 300 hectares sur 8.000 ! « Nous avons une clientèle très fidèle en Europe du Nord et au Japon. Mais il y a des grandes régions, comme la Chine, où on n’est pas présent », nuance Christian Vanier. « Une situation liée à la symbolique de la couleur rouge dans l’empire du Milieu ». Un autre facteur explique la montée en puissance du blanc. « C’est moins un vin de garde que le rouge. Il correspond mieux aux envies de consommation immédiates actuelles », dit Christian Vanier.

La tocade américaine

Aux États-Unis, le premier marché pour le vin, la consommation de blanc a bondi de 36 % depuis 2005.  Deux cépages ont la faveur des Américains, le sauvignon et le chenin, ce qui a permis aux Pays-de-Loire  de tripler leurs exportations en dix ans, de 26 à 67 millions d’euros, selon l’interprofession Interloire. Le muscadet issu d’un autre cépage, le Melon de bourgogne est lui aussi porté par la vague. « En cinq ans nous avons doublé nos exportations à 7 millions d’euros », dit François Robin de la Fédération des vins de Nantes. Outre-Atlantique, on aime le muscadet en accompagnement des fruits de mer comme en France. Malgré l’ancrage des rouges dans son vignoble, le Languedoc-Roussillon, voit également l’émergence des blancs. Ils ont fait un bond de 51 % à l’exportation en cinq ans en valeur, précise Miren de Lorgeril.

Tous vignobles confondus, les ventes de blanc en grandes surfaces ont progressé de 4,5 % en dix ans en France, quand les ventes de rouge reculaient de 20 %, selon IRI. Entre 2016 et 2018, la part du blanc est passée de 18 % à 21 % de l’ensemble, pour atteindre un chiffre d’affaires de 0,9 milliard d’euros en GMS. De quoi lever son verre.

Source : Les Echos

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Les Lauriers 2019 – Une soirée fort réussie!

1 mai 2019

Le 29 avril dernier se rassemblaient mille personnes à l’Arsenal de Montréal pour célébrer la gastronomie québécoise. Une soirée ponctuée d’un tapis rouge, d’une remise de prix et d’un staff meal décadent, signé Antonin Mousseau-Rivard et Colombe St-Pierre et leurs équipes.

Au cours de la cérémonie officielle, animée de main de maître par Christian Bégin, 17 Lauriers ont été remis aux acteurs qui ont marqué la scène culinaire québécoise au cours de l’année 2018.

« Je suis enchantée de dévoiler une seconde liste annuelle aussi riche en diversité et haute en saveurs ! Nous pouvons tous être fiers du talent qui peuple notre industrie ! » a résumé Christine Plante, la fondatrice de l’événement.

Les Lauréats ont été sélectionnés grâce au vote des membres de la Brigade – un réseau rassemblant près de 4000 professionnels de l’industrie issus de tous les métiers et des quatre coins du Québec – et à celui du jury officiel. Celui-ci a été présidé par le chef Stelio Perombelon et était composé des jurés Julie Aubé, nutritionniste et fondatrice des événements Prenez le champ !, Patrice Demers, chef pâtissier et propriétaire de Patrice Pâtissier, Anicet Desrochers, apiculteur aux Miels d’Anicet, Jean-Martin Fortier, jardinier-maraîcher à La Ferme des Quatre-Temps, Hélène Laurendeau, nutritionniste, animatrice, chroniqueuse, auteure et conférencière, Patrice Plante, mixologue et président de Monsieur Cocktail, Colombe St-Pierre, chef propriétaire du restaurant Chez St-Pierre. En acceptant de faire partie du jury, tous les membres ont renoncé à ce que leur candidature personnelle ou celle de leurs établissements affiliés soient admissibles.

Après la remise de prix, les convives ont pu prendre part à un mémorable Staff Meal mettant en lumière les finalistes et lauréats de l’an dernier. Antonin Mousseau-Rivard a pris les commandes, en compagnie de ses complices Colombe St-Pierre et Patrice Demers, le sommelier Marc Lamarre et le mixologue Patrice Plante en plus d’une foule de produits primés en 2018.

La soirée s’est poursuivie avec un DJ-set endiablé d’Alaclair Ensemble jusqu’aux petites heures du matin.

Notre ami et collègue Émile Archambault – Lauirer du mixologue de l’année

Le très dévoué Denis Lessard – Laurier du service en salle

 

Les vignerons Michael Marier et Véronique Hupin du vignoble Les Pervenches – Laurier artisan de l’année

Jean Paul Grappe est venu de France expressément pour assister au gala – Laurier hommage 2019

 

À gauche, Benjamin Mauroy-Langlais et quelques membres de sa brigade – Laurier révélation de l’année

Le chef Stéphane Modat – Laurier du chef de l’année

 LES CATÉGORIES ET LES LAURÉATS

1. Le restaurant de l’année : Mon Lapin
2. Le chef de l’année : Stéphane Modat – Champlain – Château Frontenac, Québec
3. Laurier du public : Ricardo
4. La révélation de l’année : Benjamin Mauroy-Langlois – Le petit Mousso – Montréal
5. Le chef pâtissière de l’année : Stéphanie Labelle – Pâtisserie Rhubarbe – Montréal
6. Le boulanger de l’année : Jochen Nieman – Boulangerie Nieman – Kamouraska
7. La sommelière de l’année
: Véronique Rivest – Soif Bar à vin – Gatineau
8. Le mixologue ou barman de l’année : Émile Archambault – Le petit Mousso – Montréal
9. Le prix du service en salle : Denis Lessard – Le Serpent – Montréal
10. Le camion de rue de l’année : Grumann 78 – Montréal
11. Le producteur de l’année : Fromagerie Au Gré des Champs – Saint-Jean sur le Richelieu
12. L’artisan de l’année : Anne et Catherine Monna – Vignoble Les Pervenches – Farnham
13. L’entreprise ou l’initiative de l’année : Fourchette Bleue – Sainte-Anne-des-Monts
14. Le prix du rayonnement de la culture culinaire québécoise : David Mc Millan et Frédéric Morin – Joe Beef
15. L’événement gastronomique de l’année : Foodcamp – Québec
16. Le prix du tourisme gourmand : Jardin de Métis – Grand Métis
17. Le Laurier hommage : Le professeur et chef Jean-Paul Grappe

Bravo à Véronique Rivest, sommelière de l’année … que de sages paroles!

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